22 cubes ensemble
Antoine Schmitt, 2001
Hommage à Steve Reich.
Installation générative visuelle et sonore autonome infinie. Algorithmes, ordinateur, vidéoprojecteur, soundsystem.
Expositions :
– Novembre 2001: en concert (avec Vincent Epplay) au batofar (Paris)
– Festival Virus.
- 5 avril au 5 mai 2002 : dans Kontrollfelder/Control Panels, exposition de groupe -hartware medien kunst verein, Dortmund (DE) -commissaires: Andreas Broeckmann and Matthias Weiss
– 21-28 Septembre 2002 : section nouveaux medias du 7th International Festival of New Film (Split – Croatia)
– 14-28 September 2002 : à L’épicerie dans Cétinié contemporary art biennale (Montenegro).
22 cubes visuels et sonores en rotation autonome. Chaque cube est indépendant, mais tous jouent ensemble. Rythme rapide, évolutions autonomes lentes.
A mi-chemin entre le dur et le mou, le solitaire et la foule, le synchrone et l’asynchrone, le prédéfini et l’autonome, le synesthésique et le fortuit, le plein et le déstructuré, le totalitaire et le libre-arbitre, l’imposition et la proposition
Cette pièce a été inspirée par “Music for 18 musicians” de Steve Reich, que j’ai vu joué à la Cité de la Musique en 2001. Elle constitue le point de départ de la ligne de réflexion qui a mené à la nanomachine, aux nanoensembles et au worldensemble, et qui tend à questionner la réalité objectale en la déconstruisant et surtout en la reconstruisant. Pour le spectateur, “22 cubes ensemble” est la pièce la plus physique de toute cette lignée : elle tend à impliquer le corps du spectateur dans cette réalité qui tient à peine. AS 15 juin 2005
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